Généalogie,  Branche Gourdoux

Généanniversaire – Antoine Gourdoux

Temps de lecture : 3 minutes

En ce 25 septembre 2024, nous célébrons un généanniversaire, c’est-à-dire un anniversaire généalogique : il y a 200 ans décédait Antoine GOURDOUX, mon sosa 192 (8e génération).

Le début de sa vie

Antoine est le fils d’un autre Antoine (ca 1764-1804) et de Marie Agnel (?-?). A ce jour, je ne lui ai pas trouvé de frère ou de soeur. Bien que je connaisse sa date et son lieu de naissance, le 15 novembre 1787 à Nîmes, je n’ai pas encore réussi à trouver son acte de naissance.

En 1807, alors qu’il n’a pas encore 20 ans, il est convoqué pour le recensement militaire mais il est réformé pour cause d’infirmité.

Tableau des conscrits de Nîmes, détail – Source : Archives départementales du Gard

Je pourrais peut-être trouver des informations complémentaires sur cette infirmité en consultant d’autres registres du recrutement militaire de cette période qui ne sont pas encore numérisés. A vérifier la prochaine fois que je passerai aux archives départementales du Gard.

Son mariage

Cette même année 1807, après une publication des bans les 11 et 18 octobre, Antoine épouse Prescile MARCHAND – que l’on trouve également avec le prénom Cécile dans les registres – le 23 octobre.

De cette union vont naître :

  • Claude (1809-1809)
  • enfant sans vie (1811)
  • Jeanne (1812-1814)
  • Pierre (1815-1820)
  • Joséphine Antoinette (1817-1817)
  • Thérèse (1818-?)
  • Michel, dont je descends (1820-1895)
  • Marie (?-1823)
  • Antoine Michel (1822-?)
  • Anne (1823-1824)

Comme on peut le voir, peu de ces enfants ont vécu au-delà de leurs 5 ans.

En 1813, Antoine est recensé sur la section 3 de la ville de Nîmes, au foyer n° 80, avec son épouse et leur fille aînée Jeanne. Apparaissent également Etienne MARCHAND (ca 1744-?) et Marie CHAMONTIN (ca 1757-?), les parents de Prescile, François (ca 1793-?) et Anne MARCHAND (ca 1801-?), le frère et la soeur de Prescile.

Recensement de 1813, section 3, Nîmes – Source : Archives départementales du Gard

La fin de sa vie

Antoine semble n’avoir exercé que la profession de portefaix et n’a jamais quitté sa ville natale, Nîmes. Il est décédé dans cette même ville, le 25 septembre 1824, alors qu’il était seulement âgé de 36 ans. Ce décès précoce est possiblement lié à son infirmité mais il me faudra trouver des « preuves » pour confirmer cette hypothèse.

Son épouse Prescile lui survit jusqu’au 13 septembre 1877, elle a 89 ans à son décès.

En résumé

N’hésitez pas à cliquer sur l’image pour l’ouvrir en grand et qu’elle soit bien lisible !

De lui à moi

Antoine GOURDOUX (1787-1824)
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Michel GOURDOUX (1820-1895)
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Isidore GOURDOUX (1842-1914)
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Joseph GOURDOUX (1873-1962)
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Joseph Louis Isidore GOURDOUX (1901-1943)
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Albert Aimé Joseph GOURDOUX (1924-2002)
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Maman
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Moi

Sources

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