Q comme… Questions
Des questions, comme vous tous, je m’en pose des tonnes à chaque nouvelle avancée…
Celles qui me viennent face à des problème de méthodologie : où trouver tel renseignement ? Comment procéder avec les recensements ?
Celles liées à mes problèmes d’organisation – enfin, de désorganisation devrais-je dire ! Mais heureusement, grâce à la généasphère, je picore de ci de là, des astuces et des méthodes qui font que ça va de mieux en mieux 🙂
Mais il y a surtout celles que j’aimerais poser à mes ancêtres pour en savoir plus sur leur vie quotidienne. Et parmi celles-ci, il y en a une qui me taraude particulièrement et qui a déjà été abordée dans le billet de Céline G comme Gabriel : comment les femmes vivaient les décès en très bas âge de leurs enfants ? Il y en a plusieurs parmi mes ancêtres qui ont perdu des enfants très jeunes. Je pense notamment à Anne Bernouin, mariée à 16 ans, mère à 18, elle perd son premier enfant, un fils qui plus est, âgé de 4 mois. Comme dit dans un des commentaires sur l’article de Céline, on sait que la mortalité infantile était importante mais cela n’empêche pas les mères de souffrir de la perte d’un enfant. J’aimerais vraiment savoir comment Anne a réussi à surmonter cette épreuve, et si c’est pour ça que son 2e enfant n’arrive que 2 ans plus tard…
Merci de m’avoir lue et à demain pour la suite du ChallengeAZ !
Sources :
- Abécédaire « Le travail par la récréation : alphabet à colorier / dessin de H. Delalain » trouvé sur Gallica
2 commentaires
Evelyne
Nous nous posons toutes ces questions, mais, hélas la généalogie a ses limites et nous ne pouvons pas connaître le ressenti de nos ancêtres. Nous ne pouvons que supposer !
briqueloup
J’aime bien le souhait de pouvoir poser des questions à nos ancêtres. Comme un vœu qui pourrait être exaucé: « à qui veux tu poser trois questions ? »
Cela pourrait faire l’objet de plusieurs billets sur nos blogs